Alien Raiders ou un bon petit film de Science-Fiction horrifique qui tend à prouver qu’un direct to video peut très bien rimer avec efficacité

Indiana Jones n’a qu’à bien se tenir à côté du sémillant Chuck Norris...

Hasard du calendrier, après le film français, voici son homonyme étasunien avec Michael Ironside

"Nous sommes le futur... et personne peut nous arrêter"... une accroche pour tous les petits-enfants de Jules Ferry et de Charles Bronson biberonnés au cyberpunk... ou pas !

"No Donkey. No Fairy Tale. Just TERROR" si on en croit l’accroche publicitaire... mouais, ça reste à prouver.

Premier thriller de Brian De Palma où l’on apprend qu’il peut être dangereux d’offrir un gâteau d’anniversaire à des sœurs jumelles

Un film de Jean-Luc Godard de Science-Fiction, qui l’eut cru ? Avec un Ours d’or au festival de Berlin 1965 à la clef, pourtant !

"Dünyayı Kurtaran Adam", appelé plus communément "Turkish Star Wars" ou littéralement en anglais "The Man Who Saves the World"... soit le saint Graal nanar ?

Teeth ou les affres d’une demoiselle qui découvre que son vagin est pourvu de dents aiguisées. Prix du jury au Festival du Film fantastique de Gérardmer 2008

Vous cherchez un bon film post-apocalyptique nanar, avec son quota de méchants punks, de femmes de petite vertu, de mutants et bien sûr d’un duo de choc et de charme : une cruche accompagnée de son preux chevalier chevelu ? Ne cherchez plus...

Si l’on en croit l’affiche de Blood Freak :"Only the Blood of Drugs Addicts Can Satisfy its Thirst". Tremblez jeunes gens ! Blood Freak, un film qui vous démontera par A+B que seul l’amour de Dieu est plus fort que la drogue !

Quand un des réalisateurs les plus haïs de la planète geek décide de nouveau de réaliser un film tiré d’un jeu vidéo : attention les yeux !

C’est le soir, il est encore un peu trop tôt pour se coucher et vous vous dites : "tiens et si pour trouver le sommeil, je regardais un long métrage avec son quota de tripes, de fesses et de voyeurisme ?"

Ou les aventures d’un héros charismatico-anémique perdu en pleine préhistoire se battant contre des dinosaures en carton pâte et des artefacts de Darth Vador engendrés par le génie démoniaque d’une copie carbone d’un docteur Doom d’opérette...

Quand le réalisateur et le scénariste de King of New-York ou d’Angel of Vengeance (Ms.45) décident de revisiter le mythe du vampire... attendez vous à un résultat iconoclaste... un OVNI.

Sorti en 1976, Richard Donner nous convie à un classique Hollywoodien du cinéma fantastique avec comme interprète principal monsieur Gregory Peck.