Le Seigneur des Anneaux
Là, je sens que je ne vais pas me faire que des amis, mais tant pis. Pourtant j’ai adoré les films ! Et je reconnais qu’on doit beaucoup à Tolkien, qui a créé à lui seul (en remettant au goût du jour un genre littéraire oublié, le roman médiéval) un nouveau genre : l’Héroic Fantasy. Mais franchement, le roman ... C’est mal écrit, truffé de longueurs inutile, de chansons et de poèmes sans aucun intérêt... bref, c’est chiant ! Mais merci Tolkien quand même, car sans lui on serait passé à côté de plein d’autres chefs d’oeuvre qui se sont inspiré de son travail, sans parler de la formidable trilogie de Peter Jackson !
Bon ... tout le monde connaît l’histoire, non ? Non ? Alors pour ceux qui seraient passés à travers :
Le méchant de l’histoire s’appelle Sauron ; sorte de dieu maléfique qui veut régner sur la terre. Pour cela, il y a bien longtemps, il a forgé un anneau doté de grands pouvoirs. Mais il a été vaincu, et l’anneau a été perdu.
Perdu ? Pas pour tout le monde. Il a été retrouvé par un hobbit, Gollum, qui grâce à l’anneau est devenu pratiquement immortel (mais est également devenu plus ou moins fou, et n’a plus rien d’humain), puis par un second hobbit, le fameux Bilbo. Bilbo parvient à maîtriser (difficilement)le pouvoir de l’anneau et le cache.
Tout commence lorsque Bilbo, devenu vieux, le transmet à Frodon, à une époque où Sauron refait surface, et s’apprête à affronter à nouveau les humains, aidé en cela par le sorcier Saroumane et une armée de trolls tous plus laids les uns que les autres.
Aidé par Gandalf, et d’autres compagnons qu’il rencontrera en cours de route (dont les trois plus fameux sont le nain Gimli, l’elfe Legolas et l’humain Aragorn, roi en exil du Gondor) Frodon devra traverser de nombreux territoires et autant d’aventures afin d’aller détruire l’anneau, en le jetant dans le volcan où il a jadis été forgé.
Bon, je ne voudrais pas vous décourager ! Regardez les films (si vous faites partie des rares à ne pas les avoir encore vus) et ensuite, essayez quand même de lire le roman, qui reste une oeuvre marquante dans l’histoire de la littérature.
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